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Créé le : 04/07/2010 13:19
Modifié : 30/07/2010 22:24

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[ stephen king ] [ Patricia Hightsmith ] [ Pierre Bellemarre ] [ Auteur divers ]

Crimes de sang

09/07/2010 19:11

Crimes de sang


Prise d'otage à l'hôpital, divorce sanglant, chasse à l'homme, conflits de voisinage qui dégénèrent, accidents du travail déguisés, erreurs judiciaires... Pierre Bellemare, avec son grand talent de conteur, offre ici un éventail de la criminalité ordinaire. Pas de meurtres à grand spectacle, mais des vieilles rancunes, des hasards malheureux, des instants de folie, bref des histoires qui finis-sent mal ! Angoisse et suspense sont au rendez-vous, et tout est vrai ! De quoi vous mettre les nerfs à vif !




Les quatre fils du Dr March

11/07/2010 19:20

Les quatre fils du Dr March


Elle et lui tiennent un journal. Lui, c’est le tueur et l’un des quatre fils du Docteur March. Elle, c’est Jeanie la jeune bonne que le respectable docteur a engagée pour aider sa femme malade à s’occuper de la maison. Lorsqu’elle tombe par hasard sur la confession écrite d’un meurtre abominable, Jeanie n’arrive pas à croire que parmi les quatre garçons aux visages d’enfants de choeur se cache un monstre. Un monstre qui lui écrit, qui la provoque, qui la menace. Malgré la peur qui la tenaille, elle décide de confondre le criminel et, craignant pour sa vie, consigne par écrit ses découvertes, ce que le meurtrier ne tarde pas à savoir. Alors, chacun lisant le journal de l’autre, commence un cruel et morbide jeu de cache-cache.




Une saison au purgatoire

11/07/2010 19:28

Une saison au purgatoire


Les riches peuvent-ils tout se permettre ? Jusqu'au meurtre que leur pouvoir et leur argent effaceraient des mémoires ? Peuvent-ils abolir les faits et asservir impunément les âmes ? Une famille richissime et ambitieuse. Un clan de catholiques irlandais, les Bradley, qui vise pour l'un de ses fils, Constant, la plus haute carrière politique, et ne recule devant rien. Un adolescent désargenté, Harrison Burns; camarade de collège de Constant qui entre à leur service, ne se doutant pas que son rêve va tourner au cauchemar. Assujetti, soumis aux lois et intérêts de la famille, Harrison est entraîné dans les violences de Constant. Il se retrouve ainsi complice d'un assassinat. Dès lors s'ouvrent pour lui seize années de purgatoire, seize années de culpabilité. Mais un jour les fantômes du passé ressurgissent, les démons se réveillent. Que va faire Harrison Burns ? Abandonnera-t-il définitivement son honneur ? Se rachètera-t-il ? Mais peut-il influer sur le cours de l'histoire, lui qui n'est rien ? Et les Bradley le laisseront-ils aller au bout de sa rédemption ? Dans un roman d'une lucidité impitoyable qui, pour vous conduire vers sa fin, utilise un suspence particulièrement efficace, Dominick Dunne trace au vitriol le portrait d'une de ces familles de puissants dont l'hypocrisie et le cynisme sont la marque de la société à laquelle ils appartiennent. Dominick Dunne est journaliste, Il est l'auteur de nombreux best-sellers, dont « Une femme encombrante » paru aux Éditions Lattès en 1992.




Le portrait de mal

11/07/2010 22:20

Le portrait de mal


Ils étaient prêts aux pires atrocités pour conserver l'éternelle jeunesse. Un portrait de douze personnages au visage en décomposition... La toile est l'œuvre d'un certain Waldegrave, ami d'Oscar Wilde et passionné d'occultisme, mais elle est sans valeur et plutôt médiocre. Alors pourquoi la mystérieuse Cordelia Gray veut-elle à tout prix s'en emparer ? Quel est le secret du portrait ? Qui sont ces douze personnages ? Vincent Pearson, l'actuel propriétaire du tableau, découvre un lien entre cette œuvre démoniaque et une série de meurtres particulièrement abominables qui secouent la Nouvelle-Angleterre depuis quelques mois. C'est le premier livre que je lis de Graham Masterton, auteur dont j'ignorais tout. Ne me traitez pas de barbare inculte : d'autres s'en sont déjà chargé. Et encore ne dois-je d'avoir lu ce livre qu'au hasard le plus total, ma femme l'ayant acquis pour sa consommation personnelle sans en savoir plus que moi sur Masterton (et ma femme n'est pas une barbare inculte). Après que ma douce et tendre ait joué les éclaireuses dans cet environnement littéraire nouveau pour nous, je me lançai à l'assaut du roman, rassuré par une épouse qui me garantissait que le seul risque que je courais, était d'apprécier un ouvrage qu'elle avait littéralement dévoré. Et quand mon éclaireuse, en qui je place une confiance totale forgée par des années de lectures communes, me dit que tout danger est écarté, alors je fonce tête baissée. Et force m'est d'admettre que, en dépit d'un certain nombre de défauts sans réelle incidence d'ailleurs sur le plaisir de la lecture, le livre ne se pose que contraint et forcé, chaque soir, vaincu par le besoin de sommeil, ou bien après avoir atteint le point final. Pour dire deux mots et nous vite débarrasser de ces petits défauts que j'ai mentionnés, je parlerai tout d'abord de l'habitude, quasi systématique de l'auteur d'employer des noms de marque en lieu et place de noms communs. Il n'est par exemple jamais question de voitures mais de Fleetwood (Cadillac), de Bentley, de Cherokee et autres Volkswagen. Exit également les termes de vin, chemise, chaussures, montre remplacés par leurs équivalents commerciaux. Et, bien entendu, s'agissant d'un roman dans le milieu de la peinture, il n'est jamais question de tableaux mais de Renoir, de Degas, de Sisley ... Le procédé, même s'il est utilisé ad nauseam, fini par devenir drôle et tous comptes faits pas si gênant. Autre léger défaut, les descriptions des personnages sont assez froides. Pour chacun d'entre eux c'est, de façon quasi systématique, une simple liste assez rébarbative des différentes parties du corps accompagnées d'adjectifs de couleur ou de forme, là où la plupart des autres écrivains utilisent des portraits par petites touches, prenant parfois plusieurs pages mais qui s'intègrent parfaitement dans le récit. En un mot comme en cent, disons que la qualité littéraire de ce Portrait du Mal n'est sans doute pas son principal atout. Reste que le style est efficace et qu'il se laisse lire avec une grande facilité. Mais l'intérêt est ailleurs. Dans une histoire passionnante et inquiétante à souhait et dans des personnages qui ne sont pas en reste de ces points de vue. J'avoue n'avoir rencontré que rarement des "méchants" aussi terrifiants. Absolument dénués de scrupules, ils n'hésitent devant rien pour aboutir à leurs fins. Sans parler des méthodes qu'ils emploient pour ce faire et qui font par moment basculer le roman dans le gore le plus total. Rien qui puisse choquer le vieux briscard que je suis mais je préfère mettre en garde les âmes les plus sensibles. Quoi qu'il en soit, le lecteur n'attend qu'une chose, c'est que quelqu'un se dresse contre ces êtres abominables et les mette hors d'état de nuire. Et l'attente est longue (pas trop quand même) et le suspens à son comble. D'abord parce les monstres font preuve d'une discrétion dont la raison est évidente et ensuite parce que les victimes sont, trop longtemps, sans rapport les unes avec les autres et qu'aucune enquête n'est donc menée sur l'ensemble des crimes. Jusqu'à ce que ... Jusqu'à ce que les tueurs soient amenés à commettre quelques imprudences et se fassent remarquer par un certain nombre de personnes. Dès lors, nous allons trembler, jusqu'au bout, pour ces personnes qui vont découvrir petit à petit les motivations et l'absence totale de pitié de ces meurtriers pas ordinaires. Le portrait du mal est donc un roman d'horreur assez addictif : une fois entamé, je gage que vous aurez du mal à vous arrêter, si tant est, bien entendu, que les inévitables scènes macabres ne vous aurons pas rebuté.

Commentaire de womansecret (13/07/2010 23:30) :

ah là je dis oui car ce sont mes petits romans préférés, d'ailleurs je vais m'y remettre, ils sont géniaux et je les recommande vivement!!!très belle idée de les avoir ajouter,merci.





rage

11/07/2010 22:29

rage


Un beau jour de mai, Charles Decker, lycéen, tue sans préavis sa professeur de mathématiques, et prend le reste de sa classe en otage. Il oblige ses camarades à raconter la haine qu'ils éprouvent envers n'importe qui, n'importe quoi...




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